Les thés Oolong sont rares au Japon. Ce Oolong de Kiriyama (préfecture de Shizuoka) relève parfaitement le défi de produire un excellent thé semi-oxydé à la japonaise. Récolté à la main et flétrit pendant une quinzaine d’heures, il est aussi le fruit du mariage de deux cultivars japonais : kōshun et Z1.
Son parfum est comparable à la fleur kinmokusei (l’osmanthus japonaise qui fleurit à l’automne). A la fois doux, sucré et floral, il offre une palette aromatique riche évoluant d’infusion en infusion.
Convient aussi très bien à l’infusion à froid.
Récolte manuelle, selon la méthode isshin ichiyō (« un bourgeon et une feuille« ).
Producteur : Kaneroku Matsumoto-en, assemblé par Marumo Mori Shoten